Le pétrole bientôt à 200$ ?

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Le prix du pétrole a atteint son plus haut niveau depuis trois ans

  • Est-ce que cela va se poursuivre ?
  • Va-t-on assister à une hausse sans précédent des prix de l’énergie ?
  • Est-ce que les politiciens ont sous-estimé l’impact de cette pénurie ? 
  • Pourquoi les traders pensent qu’un pétrole à 200$ est de plus en plus probable ? 
Je t’explique tout dans cette vidéo…


1) Une hausse vertigineuse dans les prochains mois et un pétrole à 100$ 

Selon John Driscoll, stratège en chef chez JTD Energy Services, les prix du pétrole pourraient connaître une hausse vertigineuse dans les prochains mois et de plus en plus de traders et d’analystes pensent qu’un pétrole à 100$ est fort probable… 

Pour Bank of America, il atteindra les 100$ en 2022

La hausse récente s’explique par une convergence d’événements 

La demande qui se reprend fortement dans le monde entier

Une pénurie de carburant au Royaume-Uni – avec de longues files d’attente de voitures pour acheter de l’essence, ainsi que des “bagarres” ⇒ Achats du carburant en panique, ce qui a mis à rude épreuve les chaînes d’approvisionnement en carburant.

  • La crise énergétique en Chine s’intensifie et a déjà entraîné des perturbations généralisées ⇒ les autorités locales ont déjà ordonné des coupures de courant dans de nombreuses usines. 
  • En Europe, une pénurie massive de gaz ⇒ hausse des prix du gaz ⇒ hausse des prix du pétrole qui joue le rôle de substitution en prévision d’un hiver plus froid. Et cela risque de se poursuivre si hiver vigoureux 


2) L’OPEP profite de cette situation

L’OPEP+ – l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés, dont la Russie

Pressions de la part des principaux consommateurs, comme les États-Unis et l’Inde, sur l’OPEP + pour qu’ils augmentent leur offre après la hausse de 50 % des prix du pétrole cette année.

MAIS le cartel du pétrole a accepté de s’en tenir au pacte existant visant à augmenter la production de pétrole de 400 000 barils par jour (bpj) en novembre et ils ont rejeté les appels à pomper davantage de pétrole.

La Maison Blanche accuse l’OPEP de ne pas avoir augmenté davantage l’offre alors que la demande a rebondi dans le contexte de la reprise de la pandémie

Les pétro-états veulent maintenir des prix plus élevés pour financer leurs gouvernements. 

Les producteurs américains ont également été plus lents à relancer la production car l’administration menace l’industrie pétrolière et gazière d’une panoplie de taxes et de réglementations. 

Les producteurs ne vont pas forer plus de puits aujourd’hui, même aux prix élevés d’aujourd’hui, s’ils ne pensent pas qu’ils produiront des bénéfices futurs.


3) Un sous-investissement dans le pétrole et une revanche de l’ancienne économie 

La crise du Covid a provoqué la faillite de nombreux producteurs de gaz de schiste aux États Unis et a aussi diminué fortement la capacité de production mondiale. 

  • On ne veut plus utiliser le charbon 
  • On veut diminuer l’utilisation de gaz et de pétrole 
  • On veut mettre l’accent sur les énergies renouvelables ⇒ sous investissement dans le pétrole sur les 18 derniers mois

Le ROI dans le secteur énergétique se calcule sur les 3 à 5 prochaines années 

  • Beaucoup d’entreprises ne veulent plus investir car elles ne veulent pas s’engager sachant que les gouvernements souhaitent une transition énergétique.. 
  • Les capacités de production de pétrole ont fortement diminué durant le Covid
  • Or la transition énergétique est un processus lent qui peut prendre des années. 
  • Dépendre uniquement des énergies renouvelables est dangereux car il y a de nombreux facteurs que l’on ne maîtrise pas. 

La politique monétaire amplifie le problème et ne va pas le régler car c’est un problème structurel… Il faut investir massivement sur les infrastructures et c’est l’unique solution 

Shell’s $22 billion Q2 write down is just the tip of the iceberg for fossil fuels 



4) Certains traders anticipent déjà un pétrole à 200 dollars

Sur le marché des options, certains traders anticipent déjà un pétrole à 200 dollars en 2022. est-ce réaliste ?

  • Oui si nous sommes dans un scénario extrême avec une accumulation de mauvaises nouvelles… 
  • De plus en plus de traders d’options parient qu’une pénurie d’énergie cet hiver pourrait faire grimper les prix.
  • Les observateurs du marché estiment que la demande dépasse l’offre de plus d’un million de barils par jour et que le passage du gaz au pétrole en raison des prix élevés de l’électricité pourrait exacerber ce déficit. 
  • Bank of America : le brut pourrait dépasser les 100 dollars le baril à un moment donné au cours de l’hiver, s’il fait exceptionnellement froid. 
  • Les options d’achat à 200 dollars ne sont pas les seules à avoir été négociées ces derniers jours. Les positions sur les options d’achat de 100 dollars de Brent jusqu’à la fin de l’année prochaine ont augmenté de 20 000 contrats ce mois-ci.


5) Analyse graphique du pétrole à LT


Références : 

Strategist on oil prices in winter, China and Europe energy crisis

Oil Prices and Bad Policy – WSJ

Thami Kabbaj

Thami Kabbaj

Thami Kabbaj est auteur de plusieurs best-sellers, entrepreneur, trader et investisseur à succès. Il est le coach n°1 en liberté financière dans le monde francophone.

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